Le crépuscule avait à peine sonner que quelqu'un entra d'un pas sûr dans l'entrée des domaines enfériques.
Cet endroit n'avait rien d'accueillant... Les murs était en pierre noir
fissuraient à de nombreux endroits. Des fumées noires sortaient du solavec effroi. Le sol était divisé en parties distinctes, une partie de
magma en fusion, l'autre d'un sol cabossé et laid.
Les créatures présentes n'étaient pas mieux que le décor. Ces crétures démoniaques, fidèles à Grobh étaient hideuses. Elle se présentaientsous plusieurs formes toutes aussi horribles les unes que les autres...
Quand la personne fît son apparition, les créatures le
dévisagèrent d'un air discret et soigneux, tandis que l'homme avançaitd'un pas sûr et rapide trainant sa longue cape noire derrière lui.
À ses côtés, deux gardes noirs, à propos de ces derniers, on ne sait que peu de choses à propose d'eux, ils se cachent derrière des longs
manteaux noirs, ils portent un casque en argent pâle ce qui laissaient
apparaitre deux yeux rouges. Ils étaient près à réagir face à la
moindre attaque contre leur maître.
Mais un autre homme, ouplutôt une autre créature était mise en valeur, il s'agissait de Durz-Grobh, le seigneur des domaines enfériques. Les deux hommes se rapprochèrent, l'un de l'autre. Et se fixèrent...
Simbra: Seigneur Grobh... Quelles sont les nouvelles du front?
Grobh: Rien de bouge...
Simbra:
C'est bien pour le Ciel Célèste, mauvais pour nous... Et avez-vous
appris des choses sur ce mystérieux personnage qui se prend pour un
Exarque?
Grobh: Il se nomme Valigarmund, il semble neutre, pour le moment... Il détient le pourvoir du temps.
Simbra:
Je trouve ça pathétique... Le Ciel Célèste semble thriompher mais dès
que nous aurons corrumpus les Tsaecis, les cartes seront à nouveau
distribuées.
En plein dans leurs projets démoniaques, les deux hommes furent interrompus par un messager démoniaque qui est venu apporter des nouvelles.
Messager: Seigneur Grobh! Le Ciel Célèste a thriompher dela bataille de la forêt d'acier.
Ces nouvelles mirent Simbra en colère, il sortit son bras de sa cape et la leva vers le messager qui commença à étouffer sur place. Après quelques minutes de silence absolu, le messager tomba, mort...
Simbra partit, suivi de ses deux gardes l'air sombre et le pas plus hésitant et lent.
Simbra: Il est temps de contrer avec notre arme... dit-il entres ses dents...